mercredi 31 août 2011

L'engagement associatif, pour développer des aptitudes et s'investir dans la vie étudiante de son campus


Le monde de l'enseignement supérieur, c'est aussi un tissu associatif aussi dense que varié. Des assos de filière aux assos citoyennes en passant par les syndicats, les formes d'engagement sont multiples. Pourquoi s'investir ? Comment choisir son association ? Quels sont les écueils à éviter ? Keek répond à vos questions.


S'engager, pour quoi faire ?

Les raisons de l'engagement dans une association peuvent être multiples. Cela permet tout d'abord de faire bouger le campus. Plus le tissu associatif est dense, plus les possibilités pour les étudiants d'avoir accès à des services divers et variés sont étendues.
 
S'engager, c'est aussi développer de nombreuses compétences allant au-delà du seul socle académique du lycée ou de la fac. Gérer un projet, manager une équipe, parler en public sont autant d'exercices qu'on peut rencontrer dans la vie associative. Enfin, rentrer dans une asso permet de faire des rencontres, de s'ouvrir aux autres et de profiter de sa vie étudiante. Il faut aussi savoir profiter, diantre !
 
S'engager, c'est risqué ?

Tout n'est pas rose dans le monde associatif, loin s'en faut ! Parfois, trop d'engagement tue l'engagement. S'investir peut en effet prendre beaucoup de temps, au détriment des études. Il faut donc bien prendre garde à ne pas oublier que dans l'expression "associations étudiantes", le second mot doit primer sur le premier.
 
Comment choisir une association ?
 
 En matière d'associations étudiantes, il y en a pour tous les goûts :
  • Pour mener des projets et renforcer la cohésion d'une promo, les associations de filières sont là. BDE (bureaux des étudiants), corpos ou amicales, quel que soit leur nom, ces associations composées d'étudiants d'une même faculté ou d'une même école organisent divers évènements pour animer la vie de leur lieu d'étude.
  • Pour épanouir sa fibre politique (un viva la Revolucion te taquine l'encéphale ?), on peut s'engager dans un syndicat étudiant. Problématiques d'enseignement supérieur, représentation des étudiants, préparation et participation aux élections... un menu consistant et varié !
  • Pour aider ton prochain, de nombreuses associations citoyennes de toutes les tailles mènent des actions sociales dans de nombreux domaines et à toute échelle. On peut faire du soutien scolaire pour les jeunes issus de quartiers défavorisés, aller dispenser des cours à des détenus, promouvoir le développement durable sur le campus...
  • Vous avez l'âme d'un sportif, mélomane ou cinéphile ? Ciné-clubs, associations d'oenologie, clubs sportifs... Les campus regorgent d'associations culturelles et sportives prêtent à vous accueillir !


Les établissements proposent parfois une présentation des associations présentes sur le campus. Vous pouvez la consulter ou vous renseigner auprès des responsables qui ne manqueront pas de venir présenter leurs associations en début d'année.

Source :
Par Chalineau J le 31 août 2011
Mini url :   http://keek.fr/e898ad

http://www.keek.fr/article/2891-s-engager-dans-une-association-pourquoi-faire

Oui à l'examen d'entrée pour devenir ingénieur civil

Selon les doyens des facultés poyltechniques, l'examen d'entrée favoriserait le taux de réussite des étudiants en première bachelier.
Selon les doyens des facultés poyltechniques, l'examen d'entrée favoriserait le taux de réussite des étudiants en première bachelier.

Les quatre facultés polytechniques francophones se sont exprimées contre la suppression du ticket d’entrée proposée par le ministre de l'Enseignement supérieur, Jean-Claude Marcourt. Pour les doyens, il faut maintenir cet examen, qui existe depuis une centaine d'années et qui contraint les étudiants à se préparer à ces études tout en s'y impliquant. Les futurs ingénieurs civils sont en plein dedans : l'examen d'entrée, sorte de passeport pour entamer leurs études. Jean-Claude Marcourt, le ministre de l’Enseignement obligatoire, a proposé de supprimer cette épreuve.

Les quatre facultés polytechniques francophones ont tenu à réagir à cette annonce. Ils sont contre cette suppression. Paul Lybaert, doyen de la faculté polytechnique de Mons, confirme : ''Entre nous, on est parfaitement d’accord pour dire que cet examen d’admission est important et on y tient. On souhaite le garder. On souhaite rencontrer le ministre Marcourt pour exposer notre position et entendre la sienne.''

Quels arguments justifieraient le maintien de cet examen d’entrée ? Les doyens des facultés polytechniques soulignent l’effet positif qu’engendre cette épreuve sur le taux de réussite des étudiants entamant leur premier cycle d’études : ''L’examen en polytechnique est presque une institution en soi. Il a plus d’un siècle. Il a imprimé une dynamique qui nous paraît essentielle. Les étudiants préparent cet examen dès la dernière année d’études du secondaire. Il conduit les enseignants à s’impliquer dans cette préparation. Toute cette dynamique là, nous y tenons beaucoup. D’autant qu’elle a un effet direct sur la réussite en première bachelier, toutes orientations confondues. Le taux de réussite des étudiants de première génération tourne autour des 40% en Communauté française. Dans les facultés des sciences appliquées, on est à 60%'', conclut Paul Lybaert.

Fabrice Gérard

mercredi 31 août 2011 à 13h08

http://www.rtbf.be/info/regions/detail_oui-a-l-examen-d-entree-pour-devenir-ingenieur-civil?id=6675163

Avoir des idées peut vous coûter de l'argent!



Tu ne te copieras point...


En cette période de rendu de mémoires et autres joyeusetés académiques, sachez, amis étudiants et chercheurs, qu'il y aurait pire que le plagiat, selon la société iParadigms. Quoi de pire que le vol d'idées ou de phrases?

L'autoplagiat!

Oui, vous avez bien lu. L'autoplagiat poserait selon une étude de cette même société, des problèmes de propriété. Non pas d'ordre intellectuel, votre cerveau vous appartenant quand même un tant soit peu mais d'ordre éditorial. L'idée derrière est que lorsque vous publiez une première fois, vous cédez vos droits à l'éditeur, à la revue. En réutilisant votre travail, vous devenez alors un vilain copiste... de vous-même.

Cet argumentaire pourrait se tenir si la société commanditaire de cette étude n'était pas une société de logiciels qui prospère, ô surprise, dans la détection de plagiat. Elle se propose de détecter par un logiciel votre autoplagiat.

Payer pour savoir si vous usez des mêmes mots, ou des mêmes idées, un peu absurde, non?

Publié le 31 août 2011 1 commentaire

A propos de... Lila Meghraoua Ecouter l’article

http://www.atelier.net/blog/idees-couter-de-largent

Chinese Scientists Plan to Pull an Asteroid into Orbit Around Earth


Pictured: Humans Tempting God to Smite ThemHexi Baoyin, Yang Chen, Junfeng Li via arXiv


Last week Chinese scientists wanted to divert an asteroid away from Earth. This week, they want to pull one into orbit around the Earth. What’s possible objections could anyone have to this idea?

The notion stems from a phenomenon the researchers from Tsinghua University in Beijing noticed from time to time with Jupiter. Every now and then our solar systems biggest planet pulls in an object from space, which orbits the planet for a time before jetting off into interplanetary space again.

We could do something similar with a number of near earth objects (NEOs) that will pass near Earth in the coming years and decades. None of these objects will pass close enough to be naturally captured by Earth’s gravity, but a few will come so close that a small nudge in the right direction would put them in orbit--likely a temporary orbit--around Earth.

The idea isn’t simply to flirt with cataclysmic danger, but to bring a small object (they suggest a 10-meter object called 2008EA9 that will pass nearby in 2049) into a loop around the Earth so we can study it closely for a few years. If we can get the art of capturing asteroids orbitally down to a science, we could use it to temporarily make asteroids into Earth-bound satellites (orbiting at about twice the distance of the moon), mine them for minerals, and then send them on their ways.

Read the paper at arXiv.

[Technology Review]

By Clay Dillow

Posted 08.31.2011 at 2:58 pm

http://www.popsci.com/technology/article/2011-08/chinese-scientists-hatch-plan-pull-asteroid-orbit-around-earth

Une nuit pour tout savoir sur le métier de chercheur

Date de début : 23 septembre 2011
Date de fin : 23 septembre 2011
 
 
Chercheur, qui es-tu ? C’est pour répondre à cette question que la commission européenne a créé en 2005, la nuit des chercheurs. Le but : favoriser les rencontres entre le public, des chercheurs et des artistes. Cette soirée de découverte a lieu dans 320 villes européennes, dont 18 en France. ...
 
Date de publication : 31 août 2011

http://www.science.gouv.fr/fr/agenda/bdd/res/4197/une-nuit-pour-tout-savoir-sur-le-metier-de-chercheur/

 

Découverte d'une étoile qui "ne devrait pas exister"

Des astronomes ont découvert une étoile très primitive, qui n'aurait pas dû exister selon une théorie jusque là largement admise, parce que sa composition la situe dans une "zone interdite", selon une étude publiée mercredi 31 août dans la revue scientifique Nature.


Une image de l'étoile fournie par l'European Southern
ObservatoryESO/Digitized Sky Survey 2

Située dans la constellation du Lion, l'étoile, moins massive que le Soleil, est constituée presque entièrement d'hydrogène et d'hélium, avec la plus faible quantité connue d'éléments chimiques plus lourds que les astronomes appellent des "métaux".

"Un théorie largement admise prédit que des étoiles comme celle-ci, avec une faible masse et des quantités extrêmement faibles de métaux, ne devraient pas exister", explique Elisabetta Caffau (université de Heidelberg, Allemagne, et Observatoire de Paris), principale auteure de l'étude.

"Cela a été une surprise de découvrir, pour la première fois, une étoile dans cette 'zone interdite'", ajoute dans un communiqué Mme Caffau, évoquant la nécessité de "revoir certains modèles de formation des étoiles".

VIEILLE DE TREIZE MILLIARDS D'ANNÉES
Selon les cosmologistes, seuls les éléments chimiques les plus légers – l'hydrogène et l'hélium – ont été créés peu après le Big Bang, ainsi que quelques traces de lithium.

Les autres éléments – y compris l'oxygène, le carbone et le fer – ont été formés plus tard au cœur des étoiles et disséminés lors de leur explosion, chaque génération d'étoiles s'enrichissant des éléments fabriqués par la précédente. La proportion de métaux dans une étoile révèle ainsi son âge. L'étoile qui défie la théorie pourrait avoir plus de treize milliards d'années.

Elle est "très primitive. Il pourrait s'agir d'une des plus vieilles étoiles jamais découvertes", selon Lorenzo Monaco, de l'Observatoire austral européen (ESO) au Chili, où des observations ont été réalisées grâce au VLT (Very Large Telescope).

MULTIPLES INTERROGATIONS
Découverte dans le halo entourant notre galaxie, cette petite étoile ayant seulement 80 % de la masse du Soleil et 20 000 fois moins de métaux n'aurait pas dû pouvoir se former en l'absence de carbone et d'oxygène servant à refroidir le nuage de gaz initial qui s'échauffe à mesure qu'il se comprime. "Plus le gaz est chaud, plus la pression augmente", ce qui peut arrêter l'effondrement du nuage, explique Piercarlo Bonifacio (Observatoire de Paris). Pour qu'il poursuive sa compression, "il faut un mécanisme qui puisse refroidir les gaz", tel celui fourni par l'oxygène et le carbone capables d'évacuer la chaleur sous forme de rayonnement.

Autre surprise : comment cette étoile primitive peut-elle contenir un taux de lithium cinquante fois plus faible que celui de l'Univers à l'époque de sa formation ? Selon les astronomes, pour qu'il disparaisse, la matière de l'étoile a dû être chauffée à 2 millions de degrés.

LEMONDE.FR Avec AFP | 31.08.11 | 18h27 • Mis à jour le 31.08.11 | 19h09

http://www.lemonde.fr/planete/article/2011/08/31/decouverte-d-une-etoile-qui-ne-devrait-pas-exister_1565997_3244.html#xtor=RSS-3208

Belgique : 67 % des enseignants sont mécontents de la qualité de l’enseignement


prof
C’est une étude menée par l’éditeur Plantyn qui l’affirme, deux tiers des enseignants sont insatisfaits de la qualité de l’enseignement en Communauté française. Ce sondage a été réalisé il y a quelques jours, via courrier électronique. L’éditeur a reçu 596 réponses dont 56% venaient de profs du secondaire, 36% du primaire et 8% d’autres niveaux. Le faible retour – même pas 1% du corps professoral – ne permet évidemment pas d’en tirer une conclusion définitive mais témoigne malgré tout d’un certain malaise du côté des enseignants.


Ainsi, 71 % des répondants estiment que le Contrat pour l’école n’a pas répondu à toutes les attentes… notamment en matière d’encadrement. Il était en effet prévu d’augmenter le nombre de professeurs pour faire face aux classes de plus en plus peuplées… Mais cinq ans plus tard, leur constat est cruel : le nombre d’enseignants par enfant est moins élevé ou identique par rapport à l’année scolaire 2004-2005.

Un sentiment qui contraste avec les indicateurs officiels de l’enseignement qui indiquent, eux, que contrairement aux années antérieures, ces trois dernières années ont été marquées par une diminution du rapport « élève/enseignant » de 3,7 %, reflétant un léger accroissement du personnel (+1,6 %) et une diminution de la population scolaire (-2,2 %).

Plantyn a également cherché à savoir si les enseignants pensaient que les élèves disposaient d’un niveau suffisant en fin de primaire : un tiers des sondés le croit… mais 39% estiment qu’ils sont moins bien orientés.

Où reste la revalorisation de notre métier?

Enfin, 95 % des répondants disent ne pas ressentir les effets d’une revalorisation de leur métier. Les syndicats et le gouvernement qui plancheront cette année sur les conditions de travail sont prévenus…1

1. Le Soir – 31.08.11

http://www.enseignons.be/actualites/2011/08/31/enseignants-mecontents-qualite-enseignement/

Tunisie : Facebook, de la révolution à la désillusion ?


Tunisie: les pionniers du web s'alarment des 'dérives' sur la toile.
Tunisie: les pionniers du web s'alarment des "dérives" sur la toile.
© AFP
Armes redoutables de la révolution tunisienne, les réseaux sociaux et Facebook en particulier se sont démocratisés et transformés progressivement en outil de diffamation, selon de nombreux cyberactivistes de la première heure. La fiabilité de l’information est désormais un enjeu démocratique majeur pour des Tunisiens toujours méfiants envers les médias traditionnels.


Facebook serait-il en passe de devenir une « poubelle » comme le déplore sur son blog Maya Takaya ? Prisés par les cyberactivistes tunisiens au cours de la révolution, les réseaux sociaux déçoivent de plus en plus de Tunisiens, près de huit mois après le départ de Zine el-Abidine Ben Ali, le 14 janvier.

Pour Sofienne Bel Haj, cyberactiviste tunisien depuis 2008, les réseaux sociaux sont victimes de leur propre succès. « Avant le 14 janvier, nous étions un petit noyau d’une centaine de personnes, on faisait attention à ce qu’on disait, on vérifiait nos info. Aujourd’hui, ça part dans tous les sens, c’est la cohue générale, tout le monde est devenu activiste sur internet. C’est l’armée des révolutionnaire de la 25e heure », regrette Sofiene Bel Haj.

Boîte à ragots
Après avoir relayé l’information de l’immolation par le feu de Mohamed Bouazizi, le 17 décembre 2010, et avoir participé à l’embrasement général du pays, Facebook serait-il devenu une simple boîte à ragots ? « Certains passent leurs nuits sur Photoshop pour trafiquer des photos ou mettre en ligne de fausses vidéos », assure Sofiène Bel Haj, citant une photo du président du Parti démocrate progressiste (PDP), Ahmed Néjib Chebbi, affublé d’une écharpe mauve, couleur préférée de Ben Ali.

Le pays, qui a connu une vague massive d’inscription à Facebook suite à la révolution, compte à ce jour 2,6 millions d’adhérents selon le site de pointage SocialBakers. Faut-il alors voir dans les critiques contre Facebook la conséquence d’une simple querelle entre nouveaux et anciens utilisateurs ? Les rumeurs diffamatoires vont en tout cas bon train sur le net, et sur les réseaux sociaux en particulier.

Victime d’une campagne de calomnie la présentant comme un « agent d’un complot franc maçon », Fatma Arabicca, professeur d’art dramatique et bloggeuse depuis 2005, dénonce de sérieuses campagnes de « dénigrement et de haine ». « Nous vivons une période de transition délicate, et on voit circuler des infos totalement fausses, des rumeurs, des théories du complot, voire des appels au meurtre, en toute impunité », déplore-t-elle. Dorénavant, les blogueurs sont contraints de passer des heures à démêler le vrai du faux sur la Toile.

Soumission à Ben Ali
Mais bien qu’ils soient confrontés aux limites de l’information via les « médias sociaux », les Tunisiens restent majoritairement méfiants à l’égard des médias traditionnels, qui payent le prix de leur soumission au président Ben Ali pendant ses 23 années d’exercice du pouvoir. « Dans ce contexte, Facebook apparaît comme souvent LA source d’information », estime Henda Hendoud, journaliste et blogueuse. « Or on a vu apparaître des administrateurs de pages Facebook très jeunes, entre 17 et 19 ans, souvent radicalisés, qui confondent opinion et information et se voient en leader d’opinion », constate Henda Hendoud, journaliste et bloggeuse.

À la veille d’une élection cruciale pour le pays, la crise de confiance en l’information pose un grand problème démocratique. Les Tunisiens seront appelés aux urnes le 23 octobre pour choisir les députés en charge de la rédaction de la nouvelle Constitution. Mais difficile de faire un choix solide sans information fiable.

(Avec AFP)

31/08/2011 à 17h:15 Par Jeune Afrique
 

Ce qu'est l'Internet

La notion d’Internet a été conçue en 1969, pendant la guerre froide par la défense américaine. Internet est avant tout un concept visant à faciliter les échanges de courrier. L’arrivée des navigateurs aptes à lire les graphiques a fait de l’Internet, une encyclopédie électronique géante, inserrée dans la petite boîte qu’est votre ordinateur.


Internet Sign | Source | Date 10.07.2007 | Author cawi2001 | Permissio
© WikiMedia (Wikimedia)
À quoi sert-il ?

En plus d’être une encyclopédie, c’est une gigantesque société offrant le plus grand choix de services, dans tous les domaines d’exploitations, qui puisse exister sur terre. En un mot, c’est un outil électronique prestigieux et miraculeux.

Quelques lignes ne suffiraient pas pour décrire ce qui pourrait être fait sur Internet. On peut absolument tout faire avec. Les domaines exploités par les réseaux internet sont vastes et diversifiés.

C’est d’abord un outil de communication efficace et express, ignorant ce que sont la distance et les frontières. En quelques clics, on peut communiquer avec des êtres chers, des contacts professionnels, avoir différents renseignements sur des domaines précis :

Postuler pour un travail ou y faire une offre, s’inscrire dans des établissements scolaires ou universitaires, trouver un ou des associés, trouver des correspondants et même, une tendre moitié, etc.

Via Internet, on pourrait aussi se renseigner sur diverses destinations touristiques ou autres, procéder aux réservations et paiements.

Il est aussi possible de gérer les différents comptes bancaires, réserver des billets de transport. Tout cela, sans bouger de la maison, en ligne, via son ordinateur, seulement en se connectant sur internet.

On peut y apporter aussi y soumettre ses propres commentaires sur des points différents.
 
Les avantages

Internet apporte beaucoup à l’humanité. Facile à utiliser, l’Internet peut rendre agréable le quotidien de l’humanité. Toutes actions peuvent se faire électroniquement, sans à se déplacer.

Cette révolution facilite beaucoup de procédures, des plus simples aux plus compliqués. On peut aussi, par Internet, procéder à différents achats ou des ventes en ligne ou encore suivre les études de ses enfants, en se fiant aux programmes scolaires en ligne.

Les inconvénients

L’absence du contact humain est ce qu’on peut dire l’un des inconvénients d’Internet. Certaines informations ne sont souvent pas coordonnées et donc, peu fiables. D’autres peuvent informations mal contrôlées peuvent porter préjudice à autrui.

Par : Naly Razafindralambo Confirmé en Internet

http://www.les-experts.com/article-424567-ce-qu-est-l-internet.html

Une Voie Lactée numérique


eris-stars-360.jpgCi-dessus une vue de profil et une vue de face de la galaxie virtuelle Eris. Crédit : Nasa/ESA/C&E Photos.

La Galaxie virtuelle Eris crée par Javier Guedes est un succès pour la simulation numérique : elle ressemble comme deux goutes d'eau à la Voie Lactée.

Une première mondiale

Jusqu'ici personne n'avais réussi à entrer dans un ordinateur des paramètres capables de retracer la formation et l'évolution d'une galaxie comme la Voie Lactée. Javiera Guedes a obtenu sa thèse en astrophysique à l'université californienne de Santa Cruz en réussissant cette prouesse.

Baptisée Eris, la galaxie virtuelle est une galaxie spirale massive, avec une barre centrale d'étoiles brillantes et des bras spiraux. La simulation met en évidence le rôle joué par les collisions de galaxies et la matière sombre dans la formation d'une telle galaxie.

Une armée de processeurs

Ce projet a requis un temps de calcul vertigineux incluant 1,4 millions d'heures de processeur sur le supercalculateur Pleiades de la NASA, plus du temps complémentaire au Centre National Suisse de Superordinateur. Le temps réel de calcul est plus court car cette charge est répartie entre les milliers de processeurs que comptent ces ordinateurs ultra puissants. Il n'en faut pas moins pour faire interagir les 60 millions de particules de matière sombre et de gaz que compte la simulation de Javiera Guedes.

Admirer la nature

De la Tunisie à l'Ouest américain, une soirée consacrée à la planète, ici détruite, là préservée par l'homme.

 Des clichés de la nature américaine sur France 5 ce soir.  PH DR

Des clichés de la nature américaine sur France 5 ce soir. PH DR



Deux visions du monde : d'une nature bousillée, d'une nature préservée. En Tunisie, souligne d'abord Morad Aït-Habbouche dans « Sale temps pour la planète », de nombreuses infrastructures touristiques ont été érigées au mépris des règles environnementales minimales.

Le littoral est dégradé, menacé par l'érosion marine… Des associations dénoncent ces détériorations et tentent de mettre fin à ces pratiques en matière de construction. La « révolution du jasmin » aidera peut-être à sauver ce qui peut l'être, même si, sur l'île de Djerba, les dégâts semblent irréversibles.


Dans « Vu sur Terre », à l'autre bout du monde, dans l'Ouest américain, deux hommes et une femme se fondent dans le paysage. Al Foul, par exemple, a posé sa guitare en Arizona. Au volant de son vieux taxi, il sillonne les routes désertes pour des concerts dans les petites villes, où il rencontre une Amérique originale, imprégnée de rock'n'roll. Richard, lui, a grandi dans les montagnes du Wyoming. Il a choisi une existence au plus près de la nature et des animaux. Il s'occupe du ranch familial et perpétue la tradition des cow-boys. Ces espaces qu'il parcourt avec ses chevaux, ces plaines, ces collines et ces montagnes, il les habite et les revendique.

Virée enfin au cœur de l'Utah et de ses chefs-d'œuvre naturels. Ce territoire immense de montagnes et de canyons est devenu le terrain de jeu de Steph Davis, cascadeuse qui aime voir la terre de haut.

Sur France 5 ce soir : « Sale temps pour la planète » à 20 h 35, et « Vu sur Terre » à 21 h 30.

Mardi 30 août 2011 à 06h00

http://www.sudouest.fr/2011/08/30/admirer-la-nature-486172-4693.php

Antoine Sfeir : « Je cherche à transmettre des explications autant que des doutes »

Le journaliste s'est exprimé sur les révolutions dans le monde arabe, accompagné de Jean-Yves Autexier, ancien sénateur.  
 
Antoine Sfeir était invité, samedi, à l'Université d'été de la section régionale du

Mouvement Républicain et Citoyen, le parti de Jean-Pierre Chevènement, à Wimille. Le directeur des « Cahiers de l'Orient » fut convié à s'exprimer sur le thème du « Printemps arabe ». L'occasion pour lui de s'attarder sur le rôle des médias à l'égard des révolutions tunisienne, égyptienne, libyenne et syrienne.

- Maintenant que Ben Ali a quitté le pouvoir (le 14 janvier), quel est votre point de vue sur ce qui s'est déroulé en Tunisie ?
« Aujourd'hui, je reconnais que je me suis trompé sur le sort de la Tunisie. Avant le début de ce qu'on a appelé "la révolte du Jasmin", je n'avais pas compris la grossièreté de la corruption qui s'y déroulait. J'ai soutenu les progrès que Ben Ali avait, à mon sens, permis en termes d'enseignement supérieur ou d'égalité hommes-femmes. Comparativement aux autres pays du monde arabe, j'attendais la révolution ailleurs. »

- Maintenant que les dictatures tombent, que doit-on attendre de l'après ?
« Si le processus démocratique avance ainsi que le pluralisme politique, le taux de popularité des islamistes va automatiquement baisser. À mon sens il ne faut pas craindre l'arrivée au pouvoir d'islamistes, qui ont fait leur beurre blanc avec les dictatures. »

- Alors que le printemps arabe n'est pas terminé, pourquoi est-il important d'organiser des conférences à ce sujet ?
« Cette expression englobante me dérange car elle ne recoupe pas la diversité des situations en Tunisie, Libye, Égypte ou Syrie. Mais j'ai accepté l'invitation du MRC pour transmettre des explications sur ces sujets d'actualité, autant que des doutes. En général, nous ne sommes pas informés parce que surinformés ou mal informés. Ici notamment, je prends le temps d'être plus pédagogue. Ce qui est le rôle des médias, face à l'afflux des blogs sur Internet.
Ces outils d'expression ont leur raison d'être mais se résument à des opinions. On ne peut pas s'autoproclamer journaliste ! »

- Que manque-t-il aux journalistes justement pour couvrir ce genre d'événements ?
« Ceux qui le sont doivent, eux, prendre davantage de recul. Aux journalistes de ma revue, je leur dis d'écrire ce qu'ils veulent, à condition d'étayer leurs propos, de ne pas être uniquement polémique et d'apporter quelque chose au débat. Malheureusement, dans un pays où 80 % de la presse quotidienne appartient à deux marchands d'armes, une information en chasse l'autre pour des questions de rendement. » •


PROPOS RECUEILLIS PAR CLARA BAILLOT

mardi 30.08.2011, 05:06- La Voix du Nord

http://www.lavoixdunord.fr/Locales/Boulogne_sur_Mer/actualite/Secteur_Boulogne_sur_Mer/2011/08/30/article_antoine-sfeir-je-cherche-a-transmettre.shtml

L'UQAM lance son site mobile


image:http://assets.branchez-vous.net/admin/images/branchezvous/thumbuqam-mobile-web.jpgJuste à temps pour la rentrée scolaire, l'UQAM a lancé le lundi 29 août la version mobile de son site web, une première pour une institution d'enseignement supérieur québécoise.

UQAM mobile a tout pour séduire les étudiants, de gros consommateurs de téléphones intelligents. Le site web de l'UQAM est compatible avec toutes les plateformes, comme Android, Blackberry, et iPhone. Pour les petits nouveaux, une fonction GPS permet de se retrouver dans cet énorme complexe labyrinthique. Pour les autres, il permet aussi de trouver rapidement les coordonnées de quelqu'un sur le campus.

Essentiellement, il offre la même chose que le site web classique : l'accès aux horaires, aux locaux de classes, mais aussi aux résultats scolaires, mais mieux adapté aux appareils mobiles.

« Le défi était de regrouper, en un seul endroit, plusieurs applications qui existaient déjà sur le Web pour les étudiants », note Jean-François Tremblay, chargé de projets technopédagogique au Service de l'audiovisuel dans un communiqué de presse.

La toute première version mobile d'un site Web institutionnel d'une université québécoise offre aussi l'accès au bottin téléphonique, aux sections Actualités, Bibliothèques, Facultés et services et le centre sportif. « Les utilisateurs sont invités à donner leur avis afin d'orienter les prochains développements du site », ajoute Jean-François Tremblay.

http://mobile.uqam.ca/


ParCharles Lecavalier

mardi 30 août 2011 à 5H00

http://www.branchez-vous.com/techno/blogues/logiciels/2011/08/luqam_lance_son.html

Le diplôme reste un atout essentiel face au chômage

Dans la génération 2007, les jeunes ont été nombreux à se tourner vers des formations professionnalisantes.
 
 
Dans la génération 2007, les jeunes ont été nombreux à se tourner vers des formations professionnalisantes. (Infographie ML)

Que deviennent les jeunes après leur sortie définitive du système de formation initiale ? Le Centre d’études et de recherches sur les qualifications (Cereq), un organisme public basé à Marseille, a décidé de répondre à cette question. Comme il le fait tous les trois ans au travers d’enquêtes de suivi d’une génération de sortants. La dernière en date vient de paraître. Elle s’intéresse donc aux jeunes qui se sont mis à chercher un travail en 2007, le but étant de savoir ce qu’ils sont devenus pendant les trois années suivantes, c’est-à-dire jusqu’en 2010.

Principal constat : la génération 2007 a bel et bien souffert de la crise de 2008. Mais les jeunes diplômés de l’enseignement supérieur ont moins souffert du chômage que les autres (voir notre infographie). Et, à l’inverse, plus le diplôme est élevé, plus le taux d’emploi augmente.

Voilà ce qui distingue réellement cette génération 2007 des autres. Car le Cereq s’était déjà intéressé aux sortants de l’année 1998 et à ceux de 2001 et 2004. "Ce qui différencie les générations que nous avons suivies, c’est notamment la conjoncture", rappelle Stéphane Michun, un chercheur montpelliérain qui travaille pour le Cereq en Languedoc-Roussillon. Reste qu’un autre constat peut être établi : malgré tout, "les diplômes demeurent un atout essentiel", insiste le chercheur.

Dans cette génération 2007, les jeunes ont été nombreux à se tourner vers des formations professionnalisantes. La preuve ? Sur 100 jeunes sortants, détaille le Cereq, 17 possédaient un CAP ou un BEP, autant ont un bac technologique ou professionnel, 6 un bac général.

Concernant l’enseignement supérieur cette fois, 16 jeunes sur 100 possédaient à leur sortie de formation initiale un bac + 2. Ils étaient donc deux fois plus nombreux que les titulaires d’une licence L3 ou d’un bac + 5. "Beaucoup de jeunes ont préféré des formations courtes, bac + 2 ou bac + 3, professionnalisantes", résume Stéphane Michun. Une façon de s’insérer au mieux dans le monde du travail.

Les jeunes femmes ont, elles aussi, leur stratégie pour se faire une place dans la vie active. Comment ? En misant sur les diplômes de l’enseignement supérieur. Ainsi, elles sont toujours plus nombreuses que les garçons à se lancer dans les études. "Elles sont majoritaires à l’université. En fait, elles surinvestissent dans l’enseignement supérieur, car elles savent qu’elles devront faire face à plus de difficultés sur le marché du travail et qu’à compétences égales, elles se verront parfois refuser certains postes", ajoute le chercheur.

Enfin, les non-diplômés ont pâti de la crise beaucoup plus que les autres. C’est d’autant plus inquiétant que depuis 1998, malgré la succession de plans contre l’échec scolaire, leur poids ne se réduit pas en France. Ils représentaient 18 % de la génération 2007, contre 17 %, neuf ans plus tôt.
 
 
 
PIERRE BRUYNOOGHE
 
 
30/08/2011, 06 h 00
 

Guerre des chiffres : combien coûte réellement la scolarité ?

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Pour écoliers, collégiens, lycéens, le "coût de la scolarité" est hausse de 3,1% en 2011. Celui de la rentrée en sixième augmente de 6,8% selon Familles de France alors que, pour les étudiants, on oscille entre 2% et 4,1%. De quoi y perdre son latin. Décryptage.

La rentrée pèsera lourd dans le budget des familles cette année. Les chiffres sont au moins d'accord sur ce point Mais entre la hausse de 3,1% annoncée ce mardi par la Confédération syndicale des familles, ou de 6,8% calculés par Famille de France il y a deux semaines, et la guerre des chiffres entre ministère et associations sur le coût de la vie étudiante, il y a de quoi en perdre son latin. Pour prévoir son budget, mieux vaut s'y pencher d'un peu plus près.

Avant le baccalauréat : coût de la rentrée ou de la scolarité?

Pour les moins de 18 ans, deux associations publient chaque année leur chiffre depuis plus de 30 ans. Familles de France le communique à la mi-août. Cette année, cette association évalue à 187,35 euros, la facture de la rentrée pour une famille dont l'enfant passe en sixième.

Pour ce “Le coût de rentrée“, l'association prend en compte un panier-type censé représenter un “bon rapport qualité-prix“ comme le défend son directeur général Thierry Vidor. Photographie d'un cartable moyen, passant de la papeterie aux chaussettes de sport, cette enquête "n'est pas scientifique" admet Thierry Vidor, "même si l'on suit une méthode sérieuse". Se focaliser sur une précise classe, à un moment de l'année permet de comparer essentiellement le prix des fournitures d'une année sur l'autre.

Une autre possibilité revient à élargir l'étude et y faire participer plus de classes d'âge. Familles de France, donne d'ailleurs des chiffres à l'entrée au collège ou au lycée, mais ils ne rentrent pas dans son calcul final.

Dans le "coût de la scolarité", plus complet, publié ce mardi par la Confédération syndicale des familles (CSF), entrent en ligne de compte les différentes classes d'âge - on ne dépense pas autant en sixième qu'en seconde - ainsi que d'autres critères comme les assurances, les coopératives, les photographies, les livres et manuels scolaires, et les vêtements en plus des fournitures et du matériel sportif. Cet organisme indique aussi le budget annuel, club de sport et voyages de classe compris. Au total en troisième, il en coûtera par exemple 2.496 euros à une famille-type pour l'année. Une évaluation que se refuse à faire Familles de France qui estime quasi impossible "de déterminer le coût réel d'une scolarité" en raison des trop forts contrastes de modes de vie entre les familles.

Pour le directeur de Familles de France (FDF), les deux calculs restent "cohérents dans la mesure où la CSF prend en compte l’assurance qui est restée plus stable“ que les autres postes. Ainsi, le budget rentrée en sixième grimpe de 6,8% pour FDF et de 6% d'après les chiffres de CSF. "Nous sommes complémentaires", défend Brigitte Masure, la présidente de la Confédération syndicale des familles. "Notre sensibilité n'est pas la même", rappelle-t-elle toutefois pour expliquer l'absense d'un consensus avec l'autre association familiale.
 
Etudiants : la "guerre" des chiffres

La divergence de point de vue est plus forte encore lorsqu'il s'agit du budget étudiant. Cette année encore une "guerre" de chiffres oppose associations et ministère de l'Enseignement supérieur. Le dernier reprend des données de l'Observatoire de la vie étudiante pour affirmer que "les dépenses de rentrée pour les étudiants suivent l'inflation" (2% selon l'INSEE). L'Unef, estime quant à elle que le coût de la vie étudiante augmente de 4,1%, "soit deux fois plus vite que l’inflation". La Fédération des associations générales étudiantes avance un chiffre équivalent (4,2%).

Pourquoi de telles différences? Question de vocabulaire d'abord. Les "dépenses obligatoires", frais d'inscription, restauration universitaire et assurance maladie, ne sont pas comptabilisées de la même manière. L'Unef prend en compte les frais d'inscription en doctorat (en hausse de 4,7% par rapport à 2010), pas le ministère. Ce dernier ne met en avant que l'évolution du prix du ticket de restau U (1,7%) quand l'Unef fait une moyenne pour 160 repas, ce qui porte à 8,4% la hausse de ce poste obligatoire.

Ensuite, les avis divergent sur ce qui fait vraiment partie d'un budget étudiant. Pour le ministère de l'Enseignement supérieur, pas de moyenne globalisant le "coût de la vie étudiante", mais un tableau d'évolution des frais d’inscription, restauration universitaire, assurance maladie, médecine préventive, loyers en résidence principale, papeterie, produits alimentaire, transport, carburant, audiovisuel, télécom et inflation.

Livres, téléphone et loisirs

Les critères sont sembables pour l'Unef, qui rajoute équipement informatique, vêtements, livres, téléphone, internet et loisirs. Son "budget moyen d’un étudiant" fait la moyenne de ce qui reste à payer chaque mois pour des étudiants dans quatre profils-type. Par exemple, un étudiant en master non boursier vivant à Paris hors de chez ses parents devra payer 1.151,98 euros par mois de sa poche au cours de l'année scolaire 2011-2012. Le boursier en licence vivant province aura 430,13 euros de "reste à charge" après versement des aides.

De même, pour les logements, l'un des postes de dépense les plus importants, les associations mettent en exergue les coûts supplémentaires lorsqu'on emménage alors que le ministère ne met en avant que les prix moyens des loyers selon l'Insee. L'Unef souligne ainsi la hausse de 8,9% des loyers dans le parc locatif privé à Paris et de 1,9% en région alors que les services de Laurent Wauquiez, le ministre de l'Enseignement supérieur et de la recherche, indiquent une augmentation moyenne de 1,2%.

Pour y voir plus clair, mieux vaut donc regarder dans le détail l'évolution de chaque poste budgétaire selon sa situation plutôt que de se contenter d'un chiffre global ou d'une comparaison à l'inflation.

Marina Torre - 30/08/2011, 18:06
 

A Berlin, les géants de la high-tech doivent retrouver le sens de l'innovation

Le Salon IFA ouvre ses portes vendredi dans la capitale allemande. Pour les différents groupes qui ne sont pas parvenus à s'insérer sur le marché de la mobilité, l'enjeu est de se replacer dans la course via l'innovation.
 
La high-tech fait sa rentrée après un été particulièrement chargé. C'est vendredi que s'ouvre officiellement, à Berlin, la 51 e édition de l'IFA, le 2 e plus grand Salon du secteur après le Consumer Electronics Show (CES) de Las Vegas. Une grand-messe incontournable pour les acteurs du secteur, qui se déroule dans un contexte particulier. L'été aura en effet été le théâtre de plusieurs bouleversements majeurs : le rachat du fabricant de téléphones Motorola par Google, la cession programmée de la branche PC d'Hewlett-Packard, l'annonce du prochain départ de Steve Jobs de la direction d'Apple dans la foulée de résultats historiques... « L'explosion de la mobilité avec le développement des ‘‘smartphones'' et des tablettes, et la généralisation d'Internet, ont chamboulé l'industrie au cours des dernières années. Le résultat, c'est qu'on a d'un côté des gagnants, comme Apple, qui affichent des taux de croissance impressionnants, mais aussi de l'autre différents perdants. Les différents acteurs essaient donc de se repositionner dans la chaîne de valeur, quitte à opter pour des décisions radicales », indique Ariane Bucaille, associée du cabinet Deloitte. Nokia et RIM en pleine restructuration, Sony et Acer qui affichent des pertes record... Nombre de groupes risquent de s'enfoncer durablement.

« Les opérations de fusions-acquisitions vont certainement s'accélérer », juge Jean-Laurent Poitou, d'Accenture. D'autant que certaines sociétés du secteur débordent d'argent, comme Apple, Samsung, ou Microsoft. De quoi annoncer d'autres rebondissements pour les mois à venir...

L'« ultrabook » dévoilé
Plus largement, les acteurs doivent miser sur l'innovation. Et c'est là que le bât blesse. Les nouveautés phares de ces dernières années dans l'électronique sont surtout venues d'Apple - dont l'iPhone et l'iPad ont créé à eux seuls les marchés des « smartphones » et des tablettes -ou de Google - avec Android. Les acteurs traditionnels de l'électronique n'ont quant à eux sorti que peu de nouveautés à succès. Résultat : leurs marchés historiques sont à la peine. Au 2 e trimestre, les ventes de PC au niveau mondial n'ont augmenté que de 2,3 %. De même, les ventes de téléviseurs sont passées dans le rouge (- 1 %) après des années de croissance ininterrompue.

L'IFA de Berlin sera-t-il l'occasion de voir apparaître de nouveaux marchés ? On attend certes différentes annonces sur les tablettes tactiles. Sony devrait ainsi dévoiler les caractéristiques et le prix de sa S1, la première de ses tablettes tactiles. De même, Samsung pourrait dévoiler de nouveaux modèles, tout comme Toshiba. Mais les interrogations demeurent quant à la capacité de ces produits à concurrencer l'iPad. Même scepticisme sur la 3D, qui ne parvient toujours pas à percer. Reste l'inconnue : l'« ultrabook », ce format de PC ultra-léger et fin soutenu par Intel, et destiné à concurrencer les tablettes tactiles, dont les premiers modèles devraient être dévoilés lors du Salon.

Les principales innovations pourraient en fait se faire ailleurs, sur le « soft ». Outre le développement de services Cloud - permettant de stocker à distance ses documents pour les consulter depuis l'ensemble de ses terminaux -, la surprise pourrait venir des systèmes d'exploitation. En attendant de connaître l'avenir de Web OS, le système d'exploitation d'Hewlett-Packard, qui pourrait, selon les rumeurs, être cédé à Samsung, Microsoft devrait profiter de l'IFA pour dévoiler la nouvelle version de Windows Phone 7, baptisée Mango.

31/08 | 07:00 | Maxime Amiot

http://www.lesechos.fr/entreprises-secteurs/tech-medias/actu/0201598032008-a-berlin-les-geants-de-la-high-tech-doivent-retrouver-le-sens-de-l-innovation-212300.php?xtor=RSS-2059

Le printemps arabe à l'université

conférence

L'université Toulouse I Capitole./Photo DDM, Thierry Bordas
L'université Toulouse I Capitole./Photo DDM, Thierry Bordas
L'université Toulouse I Capitole./Photo DDM, Thierry Bordas

«Les régimes arabes dans la tourmente : la « révolution » entre communication et réactions internationales », tel est le thème de la journée programmée le vendredi 4 novembre par l'université Toulouse 1 Capitole, à la manufacture des tabacs. Organisée par l'Institut du droit, de l'espace, des territoires et de la communication, cette journée associe les universitaires des centres de recherche d'UT1, mais aussi des enseignants-chercheurs étrangers. Les thèmes abordés sont : « Printemps arabe et devenir des mouvements de contestation », « Printemps arabe et médias », « Les réactions internationales et l'usage du droit international ».

Publié le 31/08/2011 09:15 | La Dépêche du Midi
 
 
http://www.ladepeche.fr/article/2011/08/31/1156824-le-printemps-arabe-a-l-universite.html#xtor=RSS-6

Le PowerPoint : support de cours idéal ?

Le PowerPoint : support de cours idéal ?

Avec l'introduction des ordinateurs et des nouvelles technologies dans l'art de l'enseignement, le PowerPoint est désormais devenu une règle en matière de cours.

Mais qu'en pensez-vous : une présentation PowerPoint est elle réellement indispensable pour pouvoir suivre un cours ? Changeriez-vous la façon qu'ont les professeurs de voir cet outil ?

Le PowerPoint : un outil parfois mal utilisé
Anne-Sophie : étudiante en école de commerce

"Les profs utilisent des PowerPoints pour tout et n'importe quoi même quand c'est pour écrire mot pour mot ce qu'ils vont dire. Il n'y a ainsi aucune valeur ajoutée et donc aucun intérêt.

Parfois on a aussi droit à des PowerPoints où il y a tellement d'information qu'on ne sait pas bien où accrocher le regard. L'outil perd alors toute son efficacité et on s'en lasse vite."

Anne-Laure : étudiante Erasmus à Londres

"J'ai compris ce à quoi devait vraiment servir un PowerPoint en allant étudier en Angleterre. Là bas il est utilisé comme support illustratif avec seulement des choses qui ne sont pas dites oralement (Images, définitions, vidéos...).

Il sert aussi à cadrer le cours en rappelant les grands titres ce qui est très pratique si on a quelques minutes d'inattention."
Quelle serait l'utilisation idéale du PowerPoint en cours ?
Anne-Sophie : étudiante en école de commerce

"Je pense que le PowerPoint devrait vraiment être vu par nos professeurs comme un outil d'accompagnement du cours plus que comme l'outil qui fait le cours. Rien ne remplacera les explications orales car si on voulait lire un support on ne prendrait pas la peine d'aller en cours.

Les profs ne devraient donc pas hésiter à s'en éloigner au fil des questions des élèves et à revenir en arrière si besoin. C'est cette communication qui fait la valeur du cours à mon avis, pas les diapositives."

Anne-Laure : étudiante Erasmus à Londres

"Je pense que les professeurs français devraient se rapprocher de la façon d'enseigner des professeurs Anglais qui font un véritable effort quant à l'illustration de leurs cours.

Vidéos, dessins, schémas... Tout est bon pour assister notre compréhension, sans négliger toutes les explications données à l'oral.

C'est là que l'outil devient une véritable valeur ajoutée, et plus simplement un doublon de ce qui se dit en cours.

Publié par MediaEtudiant.fr, dans Vie étudiante, le 31/08/2011

http://www.mediaetudiant.fr/vie-etudiante/les-profs-et-le-powerpoint-5938.php

Extremely long exposure: Photographer endures 15-hour shoots in the wintry Australian outback to snare stunning images of star trails in the night sky

At first glance these spectacular swirls of colour may look like clever computer graphics or the result of faulty camera work.

They are, in fact, the product of hour after hour of painstaking night-time shooting by photographer Lincoln Harrison.

His stunning pictures of star trails across the Australian night sky were taken over periods of up to 15 hours.



Shooting stars: Photographer Lincoln Harrison spent up to 15 hours taking these long exposure pictures over Lake Eppalock near Bendigo in Victoria, Australia





Ghostly: A gnarled old tree comes alive with the swirl of stars


He said: ‘It was a gruelling night with a total shooting time was 15 hours in freezing conditions, sunset to sunrise.’

He had to spend entire nights outside, braving freezing temperatures in the depths of the Australian winter near Bendigo over the scenic Lake Eppalock.

Captured using a long exposure lens, the trails are created as the Earth rotates, giving the impression of the stars moving across the sky.

Mr Harrison, 36, bought his first camera last year to take pictures of clothes he wanted to sell on eBay.

He added: ‘My favourite shot is the star trail with the purple and yellow background that I've called Dawn Fire.

‘I even left my torch in my other camera bag, so I had to climb down a steep rocky cliff in the dark to get this picture. But it was worth it. It's a personal favourite.’




Stunning pattern: Lincoln created these remarkable pictures of stars moving across the night sky




Light over the lake: Sun starts to rise over Lake Eppalock in Australia


Lincoln added: ‘I bought my first camera in October 2010, a Nikon D3100.

‘I wanted something decent for general picture taking and for taking pictures of stuff I wanted to sell on ebay items.

‘I wasn't planning on getting into photography as a hobby but a week later I had about eight lenses and all the other goodies.

‘I've been shooting at least two or three times a week ever since, mainly landscapes, star trails when the conditions are just right.'

Reflection: Light from stars darts off the calm waters




Mirror image: Colour spills over a rock as sun sets across the lake


By Stephen Hull

Last updated at 1:26 PM on 30th August 2011

Read more: http://www.dailymail.co.uk/sciencetech/article-2031704/Australian-photographer-Lincoln-Harrison-endures-15-hour-photo-shoots-capture-stunning-night-images-star-trails.html#ixzz1WbizEAf8

The small changes that make a big difference

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As an entrepreneur you are often trying to focus on the Big Picture. And that is good. But it is also good to realize that big changes can often come from just of little adjustments. I love this quote from Marian Wright Edelman:

We must not, in trying to think about how we can make a big difference, ignore the small daily differences we can make which, over time, add up to big differences that we often cannot foresee.
A few years ago I was working on TwitterCounter.com in a dark office, late at night, when one of my neighbors, from another company, strolled by and asked what I was doing up so late.

I showed him the screen and explained that I was adding a 16×16 icon to a title somewhere and that I couldn’t get the alignment right. He was very surprised that I was spending time on this and told me “Why the hell would you obsess about such details? Don’t you have people to do that for you?”

I felt embarrassed and didn’t really know what to say. It didn’t even occur to me to ask someone else to do this and for a moment thought whether I should be stopping what I was doing and focus more on the bigger picture.

Of course I didn’t and I still spend a lot of time on small things. The big picture is made up of lots of little pixels, details or even smaller images. It is just fine to make sure each of those images, or pixels, is as close to perfect as possible.

So go ahead and sweat the small stuff. They all add up to a make a big difference in ways we cannot foresee.

Photo credit: Leigh Prather via Shutterstock.

Wednesday August 31, 2011, Boris

http://thenextweb.com/entrepreneur/2011/08/31/the-small-changes-that-make-a-big-difference/?utm_source=feedburner&utm_medium=feed&utm_campaign=Feed%3A+TheNextWeb+%28The+Next+Web+All+Stories%29&utm_content=Google+Reader

Research for VET policy and practice


Members of VET&CULTURE research network meet at the ETF in Turin
Year/Date: 31/08/2011
Effectiveness, quality and evidence-based policy are at the centre of vocational education and training (VET) reforms all over the world. The conference, hosted by the ETF from 31 August to 3 September, takes an in-depth view on the research and the policy and practice of VET.

“The conference is an opportunity for VET researchers to get an insider’s view of trans-national policy processes,” says Søren Nielsen, and the ETF helped prepare the event. “For ETF staff it is a chance to receive a critical feedback on their practice in transition and developing countries, and thanks to the fine structure and sequencing of the event it was a unique opportunity to stimulate mutual learning.”

The conference organised by the VET&Culture Network, an international association of researchers, challenges researchers to confront their approaches and arguments with expectations and imperatives of policy. It also provides an opportunity to discuss what is happening in VET and the cross-section of VET and research.

"Having more than 30 VET researchers from around the world is a chance for the ETF to reduce the research-policy gap and practice, and it is a unique networking opportunity," said Mr. Nielsen.

The participants will also provide comments on 2012 ETF yearbook on “How to monitor and evaluate VET system development”.

About VET&Culture Network

 VET&Culture is a voluntary association of senior and junior researchers and students, who wish to practice cross-cultural, independent and critical research, debate and academic teaching about relations between education, work and politics. More about VET&CULTURE.

http://www.etf.europa.eu/web.nsf/(RSS)/9089C1EA4BCF5482C12578FD0026D954?OpenDocument&LAN=EN
 

La géopolitique du Maghreb après la chute de 3 présidents en attendant d’autres!

En opérant un diagnostic minutieux de la géopolitique actuelle du grand Maghreb 7 mois après le déclenchement du printemps arabe en Tunisie on constate un chaos généralisé matérialisé par l’émergence de nouvelles dissensions entre états, un accroissement du risque sécurité, l’effervescence d’un marché noir fabuleux de tout type d’armements pour conflit asymétrique ( classique et vraisemblablement non conventionnel) , l’agitation d’un bazar d’espionnage et surtout le réveil du démon des minorités ethniques .

En effet , on dirait qu’on a voulu , d’une façon ou d’une autre, mettre en oeuvre tous les catalyseurs pour attiser les différends et les divergences afin de faire peur aux populations , toutes minorités confondues et à tout azimut que ce soit au sein de leur pays respectifs ou vis à vis de leurs voisins et par conséquent les rendre vulnérables, de plus en plus pauvres,désespérés voire suicidaires: bref on a voulu déstabiliser à bon escient toute la région et à long terme l’Afrique pour leur faire accepter leur diktat.

En Mauritanie la tension monte entre blancs et noirs, le Maroc n’a pas encore trouvé de compromis avec le Polisario, l’Algérie est sous l’emprise d’attentats criminels et de mécontentement des Kabyles ainsi que des frictions avec les rebelles libyens, la Tunisie est fébrile tant que les élections ne sont pas réalisés et la Libye est ouverte à toutes les éventualités allant du morcellement du pays en trois régions, la Tripolitaine,Fezzan et la Cyrénaique , jusqu’à l’éventualité d’une longue guerre civile .

En tenant compte de toutes ces données empiriques ,on se doit de rechercher à qui profite cette situation?

En Aucun cas au Maghreb et aux Maghrébins mais plutôt aux USA et à al Qaida ,en effet la situation actuelle est qualifiée de situation de chaos constructif semblable à celui de l’Irak ( 2004-2008)ou la superpuissance mondiale était partie en guerre ,prétextant combattre l’axe du mal mais réellement pour asseoir leur domination sur les plus importantes réserves mondiales du pétrole y existant en employant tous les moyens lourds et malicieux , ce qui a donné un alibi substantiel aux djihadistes envoyés par leur ami wahabite saoudien pour rentrer et y commettre des atrocités et justifiant par là la guerre sainte contre les mécréants et servant le recrutement des suicidaires ce qui a fait rentrer ce gigantesque pays dans une spirale d’insécurité généralisée et insoluble à ce jour.

Ce scénario est similaire à celui qu’on vit actuellement en Libye sauf que les USA ,version démocrate évitent de s’impliquer directement mais menent un rôle de soutien et d’appui tout en agissant en solo suivant la méthode dite "soft power " ( drones,forces spéciales,espions salafistes infiltrés auprès des rebelles,sous traitants civils de sécurité) et selon son propre agenda .

Par ailleurs ils ont su convaincre le Qatar et les émirats arabes unis pour venir légitimer l’intervention internationale et mettre leurs énormes moyens matériels et médiatique au service de ce projet en l’occurrence les chaînes satellitaires Al jazeera et Al arabia ,très influentes dans le monde arabe.

Aussi l’Arabie Saoudite continuerait-elle à les épauler en envoyant sur les lieux des suicidaires accomplis pourvu que le monde occidental ferme les yeux sur leurs agissements non démocratiques contre son propre peuple et sur son intervention sanguinaire au Bahrein suite à l’avènement du printemps arabe.

On dirait que les dirigeants arabes encore au pouvoir veulent tous asphyxier leurs peuples et étouffer le tsunami des révolutions arabes ce qui arrangeraient les USA pour enfin venir su place bousculer les alliances régionales traditionnelles , asseoir leur suprématie stratégique dans la région et contrer aussi bien la zone euro que la Chine tout en miroitant le spectre du terrorisme mais sous d’autres formes .

Le Maghreb actuel pourrait devenir un brasier où pullulent toutes les factions extrémistes et criminelles , bien nanties en armement , n’épargnant aucun pays que ce soit en Afrique ou en Europe et l’on n’en sortirait que si les puissances alliées européennes prennent conscience du risque réel en lui donnent la primauté sur le profit à court terme.
                                                                                             
par Aboufadhel

Ecrit par OEIL GEOPOLITIQUE MAGHREB

31-08-2011 11:21

http://www.come4news.com/la-geopolitique-du-maghreb-apres-la-chute-de-3-presidents-en-attendant-d-autres-par-aboufadhel-824036

"Les performances scolaires des immigrés inférieures à celles des Belges"




Les performances scolaires des immigrés sont inférieures à celles des "Belges", indiquent mercredi Le Soir et La Libre Belgique sur base des résultats du Germe, Groupe de recherche de l'ULB sur les relations ethniques, les migrations et l'égalité. Le constat: le système scolaire continue de reproduire des inégalités.

Les chercheurs ont analysé les résultats belges de l'étude internationale Pisa (Programme international pour le suivi des acquis des élèves), sur demande, pour la troisième fois, de la Fondation Roi Baudouin.

L'écart entre élèves autochtones et élèves issus de l'immigration s'est néanmoins réduit. Ainsi, en lecture, il est de 518,936 pour les autochtones pour 454,3714 pour les immigrés deuxième génération (qui sont nés en Belgique) et de 447,912 pour les immigrés. L'écart entre immigrés et autochtones, aujourd'hui de 71 points était de 101 points en 2006. En mathématiques, l'écart, qui était de 112 points en 2006, n'est "plus que" de 75 points en 2009. Par ailleurs, la proportion d'élèves issus de l'immigration qui n'atteint pas le niveau minimal diminue, précise Le Soir.

Le principal facteur serait le statut socio-économique des parents mais la langue parlée à la maison jouerait aussi un rôle déterminant, tout comme le niveau d'éducation des parents. (belga)


31/08/11 07h59

http://www.7sur7.be/7s7/fr/1502/Belgique/article/detail/1311994/2011/08/31/Les-performances-scolaires-des-immigres-inferieures-a-celles-des-Belges.dhtml

3D: Sony présente les premières lunettes-écrans

Simulation | Les premières lunettes à écrans organiques affichant les images en trois dimensions ont été présentées par Sony. Cet objet inédit simule l’impression visuelle ressentie par un spectateur au cinéma.

 

KEYSTONE
© KEYSTONE | Ces lunettes de 420 grammes à la forme aérodynamique cumulent un casque audio qui restitue un son multi canal pluridirectionnel.
 
Le géant japonais de l’électronique Sony a présenté mercredi les premières lunettes à écrans organiques affichant en trois dimensions (3D), objet inédit qui simule l’impression visuelle ressentie par un spectateur situé au milieu d’une salle de cinéma.

Ces lunettes sont basées sur des technologies d’écrans organiques électroluminescents (OLED) et des microprocesseurs propres à la firme nippone.

Plongeant l’utilisateur dans un environnement visuel virtuel, elles sont censées lui donner la sensation de se trouver à bonne distance face à un écran de cinéma d’une vingtaine de mètres de diamètre.

Ces lunettes de 420 grammes à la forme aérodynamique cumulent un casque audio qui restitue un son multi canal pluridirectionnel.

Ce produit, qui vise aussi les adeptes de jeux vidéo, sera commercialisé au Japon le 11 novembre pour un tarif de l’ordre de 60.000 yens (540 euros).

Sony est un des grands promoteurs des technologies tridimensionnelles, en tant que développeur de jeux vidéo en trois 3D, producteur de films en relief et fabricant de caméras, projecteurs, téléviseurs et autres appareils dédiés.


AFP | 31.08.2011 | 09:53

http://www.24heures.ch/actu/hi-tech/3d-sony-presente-premieres-lunettes-ecrans-2011-08-31

Une école de Londres invente le diplôme avec garantie de boulot

Formation | Un centre de formation privé anglais s’engage à verser plus de 3300 francs à ses anciens étudiants en économie ou en management qui n’ont pas trouvé un job six mois après avoir été diplômés avec au moins une mention moyenne.

 

Wikimedia/Chernenkaya (CC by-sa)
© Wikimedia/Chernenkaya (CC by-sa) | Un des bâtiments de la London School of Business and Finance
 
Persuadée que ses élèves n’auront aucune difficulté à ce placer après leur formation, la London School of Business and Finance s'est engagée à verser 2500£ (un peu plus de 3300 francs) aux diplômés n’ayant pas trouvé d’emploi à plein-temps correspondant à leur formation six mois après leur diplôme.

Cela correspond à environ 8% de leurs frais d’écolage a calculé le Times Higher Education, puisque les cours de cette école privée atteignent les 9950£ par année (environ 13'200 francs). Il faudra toutefois réussir ses examens avec au moins une mention moyenne (Mention secondaire inférieure, selon le système anglais) pour que cette garantie s’applique.

Durant les six mois qui suivent leur diplôme, l’école offre, en outre, un coaching aux anciens étudiants. Ils sont par exemple aidés pour rédiger leur curriculum vitae et peuvent obtenir des stages dans des entreprises partenaires.

Joël Burri | 31.08.2011 | 11:18

http://www.24heures.ch/actu/monde/ecole-londres-invente-diplome-garantie-boulot-2011-08-31

An innovative method for measuring nanoparticles


© 2011 EPFL

Precise measurement of the molecular weight, size and density of a nanoparticle in a single procedure is now possible, thanks to an ultracentrifugation method, dusted off by scientists at EPFL.

Although nanoparticles are used in a variety of domains – such as medicine, solar energy and photonics – there is still much about them to be discovered. Establishing their full characterization, including mass, size and density, remains an extremely complex exercise, and this acts as a brake on research in the area. However, this knowledge gap will soon be filled, thanks to the work performed by Constellium Professor Francesco Stellacci and his doctoral-student assistant Randy Carney, from the Supramolecular Nanomaterials and Interfaces Laboratory (SUNMIL). In a recent article in Nature Communications, they demonstrate that it’s possible to obtain the complete characterization of a core-shell nanoparticle (the core and the external shell) by using a very simple method – analytical ultracentrifugation. This 100-year-old procedure has previously been used, in particular, to study the size and mass of proteins. It was in applying the method to their area of research that the EPFL scientists realized the benefits that could be obtained from its use.

The core and the shellSo far, the analysis of all the parameters that characterize the core, as well as those which characterize the shell of the nanoparticle in a single operation has remained a real challenge. The nanoparticles are indeed polydisperse, which means that, in a sample, each of them has different characteristics (size, mass, weight etc.). “Currently, scientists have at their disposal reliable techniques for characterizing the core of nanoparticles. But this requires five or six very complex procedures to obtain a complete characterization”, adds Randy Carney. “By looking at analytical ultracentrifugation, we discovered a method that enables us, in a single process, to obtain all the required parameters in a few hours.”

How does it work?Technically speaking, the concept is as follows: first, you have to dilute the nanoparticles in a solution, and then to put the solution in an analytical ultracentrifuge, equipped with an optical detection system that analyzes
their behavior. It’s then possible, using a computing process, to determine what is called the sedimentation coefficient. “When we spin them at a rapid speed, the nanoparticles separate from the liquid at different moments, according to their density,” explains Randy Carney. The biggest particles are thus separated more quickly from the liquid. This observation provides an indication of the weight of the particle, as well as its diameter.” In parallel, the scientists are focusing on another indication – usually ignored by most studies – which is called the particle diffusion coefficient, which relates to the way they spread through the liquid. “This phenomenon, which we can compare with a drop of ink in water, occurs even when the solvent is still.”

Uses in industryWhen used together, the sedimentation coefficient and the diffusion coefficient then enable the obtention of a very precise characterization of both the core and the shell of the nanoparticles: that is to say, their size, weight, form and composition. This is very important information, when we consider that the properties of the nanoparticles (chemical, electronic, magnetic etc.) are dependent on all these parameters.

For the moment, this method only works with spherical nanoparticles. However, it should still be of interest for researchers active in nanotechnologies, who can also use it for other nanoparticles, with some additional analyses. “Industry and biological applications also need a method for characterizing nanoparticles. This method could be very useful” concludes Professor Stellacci.

Author:   Laure-Anne Pessina
Source : Médiacom

31.08.2011

http://actu.epfl.ch/news/an-innovative-method-for-measuring-nanoparticles/

Oracle soupçonné d'avoir versé des pots-de-vin en Afrique

Le siège de l'éditeur de logiciels Oracle, à Redwood Shores, en Californie.
Le siège de l'éditeur de logiciels Oracle, à Redwood Shores, en Californie.AFP/JUSTIN SULLIVAN
 
Le FBI et le ministère de la justice américain ont ouvert une enquête visant le géant du logiciel Oracle, soupçonné d'avoir versé des pots-de-vin pour obtenir des marchés dans des pays africains, révèle le Wall Street Journal. Oracle, qui édite principalement des logiciels à destination des entreprises, et notamment des solutions de bases de données, est l'une des plus grandes entreprises du secteur, avec un chiffre d'affaire annuel de plus de 35 milliards de dollars.

Les autorités américaines suspectent Oracle d'avoir versé des pots-de-vin dans plusieurs pays d'Afrique centrale et de l'Ouest, une pratique interdite aux entreprises américaines, mais qui était très peu sanctionnée jusqu'à peu. Le Foreign Corrupt Practices Act ("loi sur les pratiques de corruption à l'étranger"), voté en 1977, prévoit des sanctions pouvant aller jusqu'à deux millions de dollars par infraction pour les entreprises américaines qui offrent de l'argent à des fonctionnaires étrangers ou à des employés d'entreprises publiques étrangères.

La sanction de ces délits n'était cependant pas une priorité des gouvernements américains jusqu'à 2007, note le Wall Street Journal. En 2004, le total des amendes infligées se montait à 11 millions de dollars. Pour les années 2009 et 2010 combinées, ce montant est passé à environ deux milliards de dollars.

Les dernières enquêtes des autorités américaines sur la corruption à l'étranger visaient principalement des entreprises pétrolières (Royal Dutch Shell) ou de distribution (Halliburton). Dans le secteur des nouvelles technologies, Hewlett-Packard est également visé par une enquête, pour des pots-de-vin versés notamment en Russie.

Le Monde.fr

31.08.11 | 11h12

http://www.lemonde.fr/technologies/article/2011/08/31/oracle-soupconne-d-avoir-verse-des-pots-de-vin-en-afrique_1565645_651865.html#xtor=RSS-3208

La Méditerranée : le casse-tête des ressources naturelles

En bord de mer, mais en proie à la sécheresse. Baignée de soleil, mais souffrant de pénurie énergétique... Côté ressources naturelles, la région Méditerranée cultive les paradoxes. Face aux défis posés par le développement et une démographie galopante, la voilà confrontée à des questions épineuses et cruciales : quelles solutions apporter face au manque d’eau douce ? La pêche pourra-t-elle toujours nourrir la population ? Comment répondre à la hausse des besoins énergétiques ? L’avenir de la région dépend en grande partie des réponses qui seront apportées à ces questions.


Enquête de Xavier Müller et Philippe Testard-Vaillant, article paru dans CNRS le journal n° 258-259, juillet-août 2011


La pénurie d’eau

La Méditerranée a soif. Les chiffres parlent d’eux-mêmes : 180 millions de Méditerranéens disposent de moins de 1 000 m3/an, la valeur définie comme seuil de pauvreté officiel pour l’eau. Et les 60 millions de personnes les moins bien loties ont accès à moins de 500 m3/an. Avec la croissance démographique annoncée, ces deux catégories seront respectivement de 250 et de 80 millions en 2025. Les raisons de cette pénurie ? Le principal facteur est naturel. C’est bien sûr l’aridité du climat méditerranéen, avec ses longs mois secs estivaux. Les pluies violentes qui s’abattent parfois sont bien loin d’être suffisantes. Pour faire face au déficit en eau, "de nombreux pays se sont équipés d’usines de dessalement ; d’abord dans les îles - Malte, les Baléares, Chypre et les îles grecques -, puis de manière plus généralisée", précise Christian Leduc, de l’Institut de recherche pour le développement, à Montpellier, codirecteur de Sicmed, l’un des programmes de Mistrals (le plus grand programme interdisciplinaire jamais dédié à la compréhension du Bassin méditerranéen, copiloté par le CNRS et l’Institut de recherche pour le développement, l’IRD, lancé en 2008, et impliquant actuellement 26 pays européens et du pourtour méditerranéen) sur les ressources et les usages de l’eau dans les pays méditerranéen. "La production actuelle est d’environ 10 millions de m3 d’eau par jour à l’échelle du Bassin." De quoi répondre tout de même à la demande actuelle en eau potable et d’irrigation d’un pays comme la Tunisie et ses 10,6 millions d’habitants.

Mais, pour l’hydrologue, le dessalement n’est pas la panacée, en particulier à cause de son coût élevé et de la faiblesse des quantités d’eau produites. Autres solutions envisagées : l’utilisation des eaux épurées, qui sont jusqu’à présent peu exploitées sur la rive sud, notamment pour des raisons sanitaires et culturelles, et une meilleure gestion des nappes phréatiques. Pour Christian Leduc, faciliter la recharge de ces nappes est une évidence. Mais comment procéder ? En canalisant l’eau jusqu’à des zones perméables, comme d’anciennes carrières de graviers, ou en optimisant les conditions d’inondation des plaines grâce à des barrages.

L’hydrologue constate cependant que la réponse au problème de l’eau repose avant tout sur les pratiques agricoles : "L’abattage de forêts, l’extension de l’agriculture et de l’irrigation, l’aménagement des versants sont autant de facteurs qui déterminent les ressources en eau disponibles à court terme." Il faut dire que, sur les rives sud et est de la Méditerranée, l’agriculture engloutit à l’heure actuelle 85 % de l’eau douce. Ces cinquante dernières années, les volumes de production des principales cultures méditerranéennes ont été multipliés par 3 pour les céréales, par 2,5 pour les légumes et par 5 pour les agrumes.

Et la soif du secteur agricole n’est pas prête d’être étanchée dans cette région à la population grandissante, en partie rurale et pauvre. Au sud et à l’est, les populations agricoles sont passées de 61 à 71 millions d’habitants entre 1960 et 2000. Le Plan Bleu, un organisme de prospective sous l’égide du Programme des Nations unies pour l’environnement, dessine dans son dernier rapport en date de 2006 un avenir sombre si ces différentes tendances entamées perduraient. Parmi les conséquences, des dégradations irréversibles des ressources naturelles, et notamment un épuisement des ressources en eau, mais aussi un maintien de la pauvreté rurale et une désertification accrue. Pour éviter ce scénario catastrophe et gérer de façon durable l’eau, l’organisme encourage à augmenter les revenus des paysans en valorisant leurs productions et à reconnaître le rôle de la forêt méditerranéenne dans l’aménagement du territoire.

Crédits photographiques :

La mer méditerranée, par Steve p2008, licence CC BY 2.0

Usine de désalement, par octal, licence CC BY 2.0

Forêt sur l’île de Vido en Grèce, par bazylek100, licence CC BY 2.0


Date : 30 août 2011